Dimanche 2 Mai 2010


” Après cette belle période ensoleillée, j’étais très motivée pour faire un tour de vélo avec les « potes » du club.

 

Je les attends donc au rond point du « pont bleu ». Les vélos sont de sortie ; en effet, de nombreuses voitures avec V.T.T. se rendent à Laroin.

 Voilà les maillots rose et gris du groupe 2 de Poey, mon petit groupe n’est pas très loin, trois féminines amenées par Michou me rejoignent.

Nous parcourons 800 mètres et Domi s’écrit : « ça y est, j’ai crevé, je suis désolée ».

Avec Michou, aucune importance nous le connaissons assez bien pour savoir que ce n’est qu’un détail pour lui.

Nous voulons toutes participer (excepté Marie-Claude qui ironise toujours). Domi sort sa pompe, sa chambre à air et, au moment de gonfler se rend compte que celle-ci est fendillée à plusieurs endroits (elle n’aurait pas résisté au temps) … Fière de venir en aide à mon amie, je sors de mon sac une chambre la tend à Michou mais celui-ci me la rend dédaigneusement en me faisant remarquer qu’elle est « rustinée ».

Marie-Claude goguenarde nous tend la sienne. Ca y est elle est en place Michou pompe ardemment, Aline décide alors de prendre sa place, … elle pompe Aline, mais ne gonfle ou même dégonfle, sûrement problème de valve mal insérée  … Michou alors reprend la chose en mains tout en marmonant : « le circuit est dur on ne rentrera pas à midi, mais on a la possibilité de couper et de rentrer par Rébénacq, j’aimerais être rentré pour midi, Marie-Claude aussi est invitée à une poule au pot et moi j’aimerais bien voir mon petit fils qui joue à 14 heures à Lons ».

Durant cet arrêt nous reconnaîtrons J. Lucas et Marie, Moncasse qui s’arrêtera gentiment pour dire un mot sur la Section, le grand Braquet, Lons et la file interminable de Bizanos.

 

Nous redémarrons à une bonne vitesse, Michou s’envole comme piqué par un frelon asiatique qui veut protéger ses abeilles,  mais nous le suivons sans mot dire.

 

Le faut plat montant, les deux  premières montées des Pindats, notre coatch enchaîne « ce n’est pas fini, le plus dur reste à faire, on mangera en haut ».

 

Casse-croûte, Marie-Claude croque dans la saucisse, Aline a déjà mangé son croissant, je discute avec Domi en admirant le paysage magnifique qui s’offre à nous et je crois comprendre que nous allons faire le parcours prévu    . Un cyclo, collègue de Michou s’arrêtera un peu pour discuter et nous lancera mille éloges sur lui (ce n’était pas la peine nous le connaissons bien).         

 

Nous rentrerons donc par Sévignacq, Rébénacq où le groupe 3 nous dépassera, toujours aussi gentil et véloce cet Alain Marty ! quelques gouttes mais c’est au retour, sur la route de Laroin que nous ne pouvons échapper à une belle averse. Je rentre par la rocade avec Aline mouillées mais ravies d’avoir fait ce beau et … dur parcours.

 

Il est 12 heures, pari tenu, merci Michou pour nous avoir supportées. “

Et merci à toi Denise pour ta disponiblité sans faille.


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